La fesse cachée de la ménagère
J'aime bien lire. De tout, même si, par période, je me montre monomaniaque d'un genre, d'un auteur.J'ai eu ma période "pièces de théâtre", j'ai eu ma période "Alexandre Jardin" (il y a prescription, j'étais jeune...), ma période Harlan Coben (j'ai souvent des rechutes ces derniers temps), ma période Amelie Nothomb...
Quand j'ai un livre en cours, je le lis tout le temps, partout. Je crois que c'est insupportable pour mon entourage.
Depuis quelques mois, je suis dans ma période "mom porn" (je suis d'accord, ce nom est moche mais "porno de la ménagère", c'est pire, ça fait vibrer la feministe profondément endormie en moi).Voilà, c'est dit. Ça a du bon: la libraire, maintenant, c'est ma pote! Dès que j'en achète un, elle me fait un sourire entendu et me glisse son avis sur le livre.
Quand j'ai acheté celui-ci (hier...), elle m'a dit: "je viens de le finir, il me manque déjà! ".
Le ton était donné.
Après beautiful bastard qui m'avait conquise (ah, Bennett...), me voilà complètement sous le charme de Max!
Bien loin des clichés de 50 nuances, de crossfire, ou de Damien Starck ( un designer? Non, celui qui doit me délivrer, me posseder, j'en passe -et des meilleures! ), on se plaît à suivre cette histoire, racontée à 2 voix.
Alors, oui, par contre, c'est chaud, on va pas faire les prudes, en même temps, ça serait un peu se mentir en disant qu'on recherche surtout une belle prose!
Bon, c'est bien mignon tout ça, mais maintenant que j'ai fini mon porno, je vais reprendre le cours normal de ma vie (et aller faire à manger...)!